Les CDL du site de Dunkerque paient depuis plu­sieurs mois les consé­quences de la poli­tique migra­toire inhu­maine menée par l'Etat fran­çais. Dans l'exercice de leur tra­vail, qu'ils sont contraints de mener dans un envi­ron­ne­ment tota­le­ment insé­cu­ri­sé du fait de la pré­sence mas­sive de réfugiéEs sur une voie fer­rée qu'ils empruntent quo­ti­dien­ne­ment, leur vie, leur san­té, sont mena­cées. C'est pour­quoi la délé­ga­tion SUD-Rail au CSE a dépo­sé un droit d'alerte pour dan­ger grave et immi­nent. Les sala­riés concer­nés ont fait usage de leur droit de retrait.