Un cer­tain nombre de salariéEs, désabuséEs par leurs condi­tions de tra­vail et de rému­né­ra­tion, se disent prêtEs à adhé­rer à un syn­di­cat, conscientEs que leur iso­le­ment les contraint à l’impuissance et aux lamen­ta­tions plu­tôt qu’à l’action col­lec­tive pour amé­lio­rer les choses. Mais beau­coup renoncent quand ils ou elles apprennent qu’il faut s’acquitter d’une coti­sa­tion. Or la coti­sa­tion, qui plus est lar­ge­ment rem­bour­sée, est fondamentale.