Le réchauf­fe­ment pla­né­taire que nous subis­sons, sus­cep­tible de pro­vo­quer un désastre mon­dial, n'est pas une fata­li­té. Il peut être maî­tri­sé et atté­nué ; à condi­tion de s'engager dès main­te­nant dans un ren­ver­se­ment radi­cal des modes de production.